Elles sont dénuées de sens ou à sens unique. Sous le regard hagard des radars elles sont si cynique. Illusion du choix. C'est une quatre voies mais elles tracent une ligne droite, en démocratie le péage est roi. A ce qui parait elles n'ont pas de prix mais réussir la sienne c'est remplir son assiette, ça c'est ce qu'on m'a appris. Mentalité fast food. Comme dirait l'autre on les perd à les gagner si ça se trouve. Pour la faire d'amour et d'eau fraîche c'est un combat. Elle est rythmé par le labour et l'oseille dans le contra. Je ne compte pas la voir en rose à tout prix si tout est gris. Je suis aigri car mes frères rêve de mener la grande, celle de château et pas celle de bohème. Je sais que je leurs casse les couilles et les oreilles avec tous mes poèmes. Foutre les problèmes dans le coffre d'un RS4 et rouler vers un horizon qu'a l'air bien moins détestable. Ça les obsède et moi j'observe un triste spectacle mais j' me dit que t’en qu'elle est la c'est qu'il y à de l’espoir. On veut me faire croire qu'il faut la pratiquer avec son temps. Fatigué de pactiser, j' appel à l'aide. Entend mon S.O.S. Faut il que je le tweet, que je le snap, que je le poste ou qu' je l'écrive en S.M.S ? Merde ! Ces mails m'ont fait croire en ce qu'il ressemble à un long fleuve tranquille mais sous la roche j'avais pas vu les anguilles. Envie de ken en vitesse les maîtres de ce grands système. J' suis fiers de faire la guerre à la guerre et d'incarner l'antithèse. Sans grande finesse je baise le pessimisme et enterre les défaitistes. Ouais encaisse ce « rest in peace ». Tu récidive dans les occase de fermer ta gueule car t'es bon qu'a faire des start-up et à te contenter d’être aveugle. Malheureusement tous mes frères t’ont pris en exemple. A l'heure d' la fin des temps certains compte leurs papiers et moi j' rap dans les temps. Ça m'est vital de venir donner mon avis. J'habite en vis à vis avec les pires écarts, c'est la magie de Paris. Sur le parvis j' navigue et vois la foule avide. Consciente de cette zizanie mais leurs cœurs est sous vide. Appétit inassouvi, tous nos cerveau sont asservie. On ne sait plus dissocier le nécessaire de nos envies. Servitude, incertitude, grandes utopies, désir de tunes, décrépitude et solitude si rude, tous ça c'est nos vies.

J' voudrais m’échapper de ma tète et chasser ces années. Est ce que t'as capté le raté ? Je n' sais que marcher et rapper. Il y a peut d' chose qui me réussisse. Je n'est pas de bac, pas de copine, pas de revenu. Laisse moi te parler de ma routine de pacotille et de ma peur de n’être qu'une pal copie. D'avoir le jeux d'acteur, vie d’arnaqueur et toute la panoplie. Ce monde à plein de saloperie et putain elles m'ont pénétré. Pourquoi ai je du mal à commettre un acte désintéressé. Délaisser ses péchés, ses envies, faire le vide en moi. Faire le vide en moi, j'en sortirais grandi. Mais est ce une façon de renoncer ? L'avenir me dit « laisse tes rèves ». Pourquoi quand j' me projette j' me vois vagabond ou S.D.F ? Peut être par soif de liberté. Plus d’attache, plus d' appart juste mon vélo, mon sac a dos, mon but à gaz. Et l'amitié me fus fatal, je me suis attaché aux gens. Jamais je n'aurais pensé que ça pourrais me tracasser autant. Refrain : Dans ma meute pas de mal alpha. Animaux mal fait. Acceptant notre sort on ne sera jamais parfait. Aller hâtez vous pour constater. Bienvenue au rendez vous des saletés, tous les rats d'égout, les ratés. X2 Rapper c'est plus qu'un exutoire, j' contes mes tares de vaux rien. Je me suis trop déçu car je n'es même pas su assumer ma paternité quand elle m'a sourie. Ya plus personne une foi les besoins charnel assouvi. Ouais ça c'est ma vie. Totalement irresponsable. D’autan plus que je n'ai pas de situation stable. Dons il s’avère qu'on doit faire marche arrière. Dans le cas contraire c'est les pleures d' ma mère, les galères, les petits salaires. Parles de carrière, tu verras mes yeux pleins d'espoir mais ici bas on sait tous que le rap ça ne paye pas. Loin, loin, loin si loin d’être au top du game. Le hip hop n’existe plus, c'est de la pop urbaine. J’oscille entre objectif commercial et discs à prix libre. Bref j'ai du mal à trouver mon équilibre. Loin de pouvoir dire « je suis libre », c'est une énigme. J'hésite entre les risques et un quotidien rectiligne. (Refrain) Partagé entre la peur de s’attacher et celle de finir seul, silencieux et tracassé. Je ne peu m'adapter à ce jeux tyrannique. Votre société c'est le titanic. Il panique. Entends tu le cœur de Léo qui palpite ? Car comme beaucoup je préfère Irracible. Léopold était mauvais à l'école, ouais ça déconne. Il comptais les échecs au nombres de ses heures de colle. Irracible soigne ses fissures grâce à l'écriture. Il comptes les victoires aux nombre de ses ratures. Léopold était plus que réservé. Le terrain des sentiment depuis longtemps est déserté. Irracible explose quand il fait des scène. Il conjugue rage, colère, peur, amour, haine et peine. Ma plume à fait des sienne, maintenant tu sais qui se cache derrière le blaze ou derrière le masque. Irracible loin du véner de base. (Refrain)

J'ai des insomnies qui me stress. Je suis insoumis à Morphée. Mauvaise nuit. Je te l' dit en bref, les dieux m’ont condamné à morfler. Mes cauchemars, mes rêves atrophiés. Je n'est que le froid du réel. Roi du désert. Malgré tous ces mirages vois tu mes peines ? Je commande à mes paupières : « capturez les » ! Ca ne marche pas. « La tu m'énerve », je me parle tout seul ça vas barder. Un raté, j'ai assumé de l’être depuis les mots sur carnet. Cerné, dans un sale état. Je jette les dés, j'avance case par case. Mare de n’être que ce sale bâtard. Dans mes rêves j'aimerais trouver mon avatar. Mais le réveil m'a pris en otage. Cloué à la réalité. Ici l’espoir à fait naufrage. Ou est ma foie réanimé ? J'ai chaviré dans un océan vide. Avant j'étais assé sensible. Assis parmi toutes ces sirènes, en pleine admiration mais ce n'est qu'un désert, peut être était ce une hallucination. D' façon je voudrais m'évader. Je vais tous déballer. Ma conscience enterré sous les pavés. Dans ma tête je cherche un troue noir ou un trou de mémoire ou m'étaler. Allé. Pour détaler car ce goût est salé, celui des larmes qui on coulé toutes ces années. C'est pour le fous, les tarés. Il faut nous épargner. L’objectif, rassembler tous les damnés. Refrain : Je ne discerne pas d’oasis ou de perle rare. Mon sommeil sert de proie malgré l' sable à ces cernes noir. A quoi sert d’être roi des mirage d'un désert de glace ? Merde, je crois que ce règne froid qui me séquestre à l'écart a l'air tenace. X2 Si j'avais la lampe d'Aladdin que ferais je à la seconde ? M'occuper de mes problèmes ou écouter tes proverbes à la con ? Car une de perdu c'est une de perdu. Yen aura pas dix, nan c'est une de perdu. Ou te crois tu avec ta tète de têtu ? Regarde le vice paye plus que la vertus. Donc comprend que je ressent de l'amertume. Et pour me réconforter que m'amène tu ? Pour passer ce ras l'bol ni de l’alcool, ni de la drogue, je ne fume pas de la verdure. Pas de substances, nan je reste saint de corps et d'esprit. Vas y test ça ! Nan merci. J' te fais pas de dessin, perdre le contrôle je déteste ça. Pourtant dans ma vie je n' maîtrise rien. Même pas la plus part de mes décisions. Rapper, j' le fais si bien celons certain mais nous n’existons pas qu'a travers nos passions. Dommage. Tu veux la recette du bonheur, tous n'es qu'une question de dosage. On à conjugué nos rages, on à invoqué l'orage. J’entends ces vieux défaitistes dire que c'est normal à nos ages. Mais comme disait les anciens dans leurs refrains, « le monde de demain nous appartiens » ! Sache qu'on trace notre chemin, que personne ne nous tienne par la main. (Refrain)

Dit leur de déclencher l'alarme ou laisse moi élancer ma flamme et tenter d’acclamer l’étendard pale de mes semblables admettant que l'état d' grâce grince. Agressé, écrasé ou grisé par mes pensés macabres. Du mal à étancher ma soif de larmes car l' errance est fatale. Me battre contre les démons du monde amadouant les modes et les miens. C'est ma mission, elle l'est des maintenant. Demains seras pire alors aidez moi. Mais si seulement je cédais moins au mains du capital. Avant de partir j'aimerais laisser à mes potentiels enfants une surface habitable. Cette surface habitable c'est la planète terre et pas un appart. Quatre foi l' quart c'est la part qu'il s’octroie depuis que l'homme crois qu'il est plus qu'un animal. Putains d'époque inhabitable à l'image des sale connes et des sale cons qui klaxonnent et qu’actionnent tous ces carcans qui cartonnent les forces radicales. Admirable, j'aimerais l’être avant de rendre l’âme. Et téméraire car cette engrenage à froissé mes nerfs. Moi j' restes éphémère. Face à l'éternel je prend de l'age. Toi, héro de l' anonymat. Je t'admire, moi je remet à demains mais un jour j'arriverais à te mimer et à agir autrement qu'à demis mot. Et j'aimerais qu'à tous moments ou mon cœur puisse s’arrêter qu'il soit pure et qu'il soit léger, sobre et blanc comme quand il à neigé. Apaisé, mais je suis loin de l’être. J' m' imagine loin de cette impasse investi par ces rappasse ramassant pleins d' recettes. Un / deux check. Est ce que le micro est branché ? Est ce que le sample est séquencé ? Élancé à l'assaut dans les tranchées, j' veux déclencher des danses et des pensées parsemés d'émotions et pas des déhanchés. Ça me démange et je veux les déranger. Mon engagement effréné est freiné d'entré. Qu'est que j'en sais de ma place en ce monde ? Tout peut basculer en quelque secondes. Aurais je le temps d’être heureux dans cette vies avant d’être enseveli ? C'est c' que je me demande. Aurais je le temps de t' aimer ? Aurais je le temps de semer ? Aurais je le temps de charmer la belle avec la quelle nous élèveront nos enfants jusqu'au sommet ? Nouveau née j'étais hier, vieillard je serais demain. Merde, le temps passe vite. Lessivé quand j' panique que n'arrive pas ma destiné fantastique. Avant d' partir j'aimerais dissiper mes idées, les écrire et les crier. J’ai étiré du rap, à l'age de treize ans j' met les doit dans la prise et le pied à l'étrier. Dix ans après, presque résigné au vue des quantités d'invitations à s'émanciper perdu dans l'immensité du divertissement. Métro, boulot, lobotomie, dodo c'est nos existences mais j’essaie de garder mes distances et d’appartenir au camps de la résistance. Même sans finance j'amorce ma carrière. Je sort de ma tanière avec un mégaphone. J' vais tout faire pour que le CD cartonne mais hors de question d'intégrer la norme. Hors je suis peut être idiot de croire que l’avenir appartient à ceux qui ose mais même si c'est pas la révolution au moins j'arrive à exorciser mes névroses. Il y à tant de choses à accomplir que j'aimerais faire. Immense est cette terre mais notre passage y est éphémère. Bref, j' veux utiliser mon temps de vie à apporter ma pierre à l'édifice avant la grande nuit.